Au beau milieu de la nuit, alors que les héros de Korvosa ne dorment que d’un œil dans leur yourte, ils entendent les hennissements affolés des chevaux à l’autre bout du camp. L’attaque a commencé. Le temps de ramasser leurs armes, et ils sortent pour juger de la situation. Ils repèrent rapidement un groupe de gargouilles occupées à lacérer les tentes voisines, comme si elles cherchaient quelque chose ou quelqu’un. Peut être eux, tout simplement, puisque lorsqu’elles les aperçoivent elles abandonnent immédiatement leurs déprédations pour se lancer à l’attaque.
Alors qu’ils engagent les gargouilles, ils peuvent constater que le combat fait rage dans tout le camp. Il semble que les gargouilles ait « véhiculé » d’autres combattants et les aient déposé dans le camp.
Une fois le premier groupe d’adversaires défait sans trop de difficultés sous les chants guerriers d’Orgian, les aventuriers se dirigent vers le centre du camp, afin de bénéficier de la lumière des torches et d’essayer de mieux comprendre ce qu’il se passe. Alors qu’ils arrivent en vue du puits, ils sont interceptés par trois mantes rouges, qui sont rapidement rejointes par une poignée de gargouilles. Silas se retrouve un instant en mauvaise posture, pris en tenaille par deux des assassins, mais son baume de peau collante fait merveille : ses adversaires se retrouvent rapidement désarmés et il peut se replier derrière ses compagnons. Et recommencer à jeter ses bombes sur leurs ennemis. Il en sera quand même quitte pour une « jolie » balafre au dessus du nez…
Bien que le combat ait été rude, les aventuriers se sont débarrassés des mantes et des gargouilles qui les avaient attaqués. Autour d’eux les barbares sont aux prises avec les gargouilles dans tous les coins du camp. Mais ce qui retient leur attention est un cri de Krojun, qui vient de défier quelqu’un… Le Cendrai.
Le rôdeur lance son familier, un léopard fourrure-ardente, sur le barbare. Sans doute pour le retarder et se donner le temps de tirer une salve de carreaux hurleurs sur son adversaire. Kresh, qui est le seul à avoir suivi la scène, s’avance vers les deux combattants. Ses compagnons, sans trop comprendre ce qu’il se passe, le suivent. Heureusement : une demi douzaine de mantes rouges apparaissent derrière le Cendrai et se jettent sur Krojun et Kresh…
Le sorcier parvient à endormir le chasseur à l’aide d’un sort, mais une des mantes le réveille un instant plus tard, et il recommence à arroser les barbares et leurs alliés de ses carreaux mortels. Face aux mantes, Kresh est à la peine ; il perd deux doigts d’un coup de lame bien ajusté et cherche à se sortir de ce mauvais pas. Brynizril, elle aussi engagée, est incapable de venir le soigner. Kresh tombe. Elle parvient à se faufiler jusque lui. Il respire toujours ; elle le soigne, avec l’aide de Desna.
Au milieu de la mêlée, Krojun et Kylian se battent côte à côte ; les mantes tombent comme des mouches. Le Cendrai évite le corps à corps, mais Brecht le harcèle de pouvoirs psioniques, et une fois que toutes les Mantes sont tombées, il n’a plus nulle part où reculer.
Le Cendrai est enfin tombé. Les combats font toujours rage un peu partout dans le camp. Les corps de nombreux barbares et gargouilles jonchent le sol du camp. Un nouveau groupe de mantes rouges s’avance vers les aventuriers. L’une d’entre elles vole et ne porte pas de masque ; sans doute est-ce Cinnabar. Elle appelle chacun des héros de Korvosa par son prénom et les accuse d’avoir, par leur présence, apporté la mort chez les Shoantis. Elle demande à Krojun de lui livrer les étrangers, en échange de quoi elle donnera l’ordre d’arrêter le massacre. Le barbare se redresse, hurle « Ce sont mes frères ! », avant de se jeter sur les mantes qui lui font face.
Cinnabar disparaît, laissant ses mantes aux prises avec les deux K. Elle réapparait au milieu des lanceurs de sorts, mais aucune de ses attaques ne parvient à avoir raison de ses adversaires qui, bien que blessés, concentrent leurs pouvoirs contre elle. C’est trop, même pour une combattante de sa trempe. Mortellement blessée, au moment où l’on pense qu’elle va tomber, elle joue sa dernière carte, et se transforme en une immense mante religieuse rouge vif. Mais même ainsi transformée, elle ne peut faire face à tous ses adversaires, que les précédents combats ont moins affaiblis que ce qu’elle escomptait… Elle finit par s’effondrer, reprenant son apparence humaine, dans les bras de Brynizril. Un sourire se dessine sur son visage. Son dernier mot, à l’attention de la naine est « merci »…
Il ne reste plus de mantes en vue. Les gargouilles survivantes, comprenant que la défaite est consommée, prennent la fuite. Le Gué-du-Feu à survécu à cette terrible attaque, mais de nombreux Shoantis sont morts cette nuit…
Alors qu’ils engagent les gargouilles, ils peuvent constater que le combat fait rage dans tout le camp. Il semble que les gargouilles ait « véhiculé » d’autres combattants et les aient déposé dans le camp.
Une fois le premier groupe d’adversaires défait sans trop de difficultés sous les chants guerriers d’Orgian, les aventuriers se dirigent vers le centre du camp, afin de bénéficier de la lumière des torches et d’essayer de mieux comprendre ce qu’il se passe. Alors qu’ils arrivent en vue du puits, ils sont interceptés par trois mantes rouges, qui sont rapidement rejointes par une poignée de gargouilles. Silas se retrouve un instant en mauvaise posture, pris en tenaille par deux des assassins, mais son baume de peau collante fait merveille : ses adversaires se retrouvent rapidement désarmés et il peut se replier derrière ses compagnons. Et recommencer à jeter ses bombes sur leurs ennemis. Il en sera quand même quitte pour une « jolie » balafre au dessus du nez…
Bien que le combat ait été rude, les aventuriers se sont débarrassés des mantes et des gargouilles qui les avaient attaqués. Autour d’eux les barbares sont aux prises avec les gargouilles dans tous les coins du camp. Mais ce qui retient leur attention est un cri de Krojun, qui vient de défier quelqu’un… Le Cendrai.
Le rôdeur lance son familier, un léopard fourrure-ardente, sur le barbare. Sans doute pour le retarder et se donner le temps de tirer une salve de carreaux hurleurs sur son adversaire. Kresh, qui est le seul à avoir suivi la scène, s’avance vers les deux combattants. Ses compagnons, sans trop comprendre ce qu’il se passe, le suivent. Heureusement : une demi douzaine de mantes rouges apparaissent derrière le Cendrai et se jettent sur Krojun et Kresh…
Le sorcier parvient à endormir le chasseur à l’aide d’un sort, mais une des mantes le réveille un instant plus tard, et il recommence à arroser les barbares et leurs alliés de ses carreaux mortels. Face aux mantes, Kresh est à la peine ; il perd deux doigts d’un coup de lame bien ajusté et cherche à se sortir de ce mauvais pas. Brynizril, elle aussi engagée, est incapable de venir le soigner. Kresh tombe. Elle parvient à se faufiler jusque lui. Il respire toujours ; elle le soigne, avec l’aide de Desna.
Au milieu de la mêlée, Krojun et Kylian se battent côte à côte ; les mantes tombent comme des mouches. Le Cendrai évite le corps à corps, mais Brecht le harcèle de pouvoirs psioniques, et une fois que toutes les Mantes sont tombées, il n’a plus nulle part où reculer.
Le Cendrai est enfin tombé. Les combats font toujours rage un peu partout dans le camp. Les corps de nombreux barbares et gargouilles jonchent le sol du camp. Un nouveau groupe de mantes rouges s’avance vers les aventuriers. L’une d’entre elles vole et ne porte pas de masque ; sans doute est-ce Cinnabar. Elle appelle chacun des héros de Korvosa par son prénom et les accuse d’avoir, par leur présence, apporté la mort chez les Shoantis. Elle demande à Krojun de lui livrer les étrangers, en échange de quoi elle donnera l’ordre d’arrêter le massacre. Le barbare se redresse, hurle « Ce sont mes frères ! », avant de se jeter sur les mantes qui lui font face.
Cinnabar disparaît, laissant ses mantes aux prises avec les deux K. Elle réapparait au milieu des lanceurs de sorts, mais aucune de ses attaques ne parvient à avoir raison de ses adversaires qui, bien que blessés, concentrent leurs pouvoirs contre elle. C’est trop, même pour une combattante de sa trempe. Mortellement blessée, au moment où l’on pense qu’elle va tomber, elle joue sa dernière carte, et se transforme en une immense mante religieuse rouge vif. Mais même ainsi transformée, elle ne peut faire face à tous ses adversaires, que les précédents combats ont moins affaiblis que ce qu’elle escomptait… Elle finit par s’effondrer, reprenant son apparence humaine, dans les bras de Brynizril. Un sourire se dessine sur son visage. Son dernier mot, à l’attention de la naine est « merci »…
Il ne reste plus de mantes en vue. Les gargouilles survivantes, comprenant que la défaite est consommée, prennent la fuite. Le Gué-du-Feu à survécu à cette terrible attaque, mais de nombreux Shoantis sont morts cette nuit…
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