Accompagnés du Sénéchal fraichement retrouvé, les héros de Korvosa entrent dans le labyrinthe vivifiant, le donjon personnel de la famille Arkona. Ils arrivent rapidement à un cul-de-sac, mais comme Glorio le leur a expliqué, certaines parties du labyrinthe sont mobiles. Il suffit sans doute de tirer sur ce grand levier, au fond de la pièce, pour modifier la configuration des lieux. Silas tente le coup. La salle pivote, à une vitesse si élevée que Brecht, surpris, est projeté au sol. La porte par laquelle ils sont entrés fait face à un nouveau couloir.
Après quelques essais sur les différentes positions possibles, il faut se décider à commencer l’exploration, avec un souci en tête : veiller à ne pas être séparés par les rotations des pièces. Il ne semble pas y avoir grand monde à part eux dans les couloirs. A se demander si Vencarlo se trouve bien enfermé ici…
Personne n’a le temps de s’ennuyer, cependant : les différents couloirs et salles sont truffés de pièges, avec lesquels il faut composer. De nombreux symboles magiques, cachés au fur et à mesure de la progression du groupe par des capes et autres morceaux de tissu. Des coffres gravés de mystérieuses comptines, dont ils découvriront le mortel contenu sans s’y exposer grâce à un serviteur invisible convoqué par Kresh, secondé par le cristal psy de Brecht. Un couloir menant à un cul-de-sac, mais bordé de vierges de fer s’ouvrant à leur passage pour les perforer de lances acérées. Des volées de dards empoisonnés qui jaillissent des murs lorsqu’ils s’attardent trop dans une pièce.
Et des salles vides. Qui pivotent, parfois, pour leur permettre d’accéder à d’autres parties du labyrinthe, comme cette salle de méditation qu’ils ont longtemps regardée avec circonspection, pensant à un nouveau piège, jusqu’à ce que Silas n’ose y entrer et leur prouve que l’endroit était sûr.
Enfin, après presque une heure d’errances, ils se trouvent face à Vencarlo. Vêtu de haillons, un kukri à la main, il s’avance vers eux, l’air méfiant. Mais Brynizril l’arrête… Quelque chose cloche : ce n’est pas le maître d’arme qui se tient devant eux, mais une femme. Entourée d’une puissante illusion, certes, mais la naine à le regard perçant ! Découverte, Vimanda Arkona – car c’était elle – abandonne son déguisement.
Elle abaisse le levier à côté d’elle, pour faire pivoter les salles du donjon et essayer de séparer le groupe ; la nouvelle configuration leur permet de découvrir un autre adversaire : un sphinx femelle, armé de deux Kukris. Un sphinx des ombres, en fait, une variété extraplanaire et peu amicale, qui promet de compliquer sensiblement le combat.
Silas entame les hostilités, en lançant une bombe en direction de Vimanda, qui l’attrape au vol et la renvoie vers le groupe. Boum ! Elle enchaîne en faisant pivoter à nouveau les pièces, s’isolant ainsi du combat et disparaissant à la vue du groupe. De toute façon, la sphinge vient de lancer un sort de ténèbres…
Les rotations continuent. Sans doute Vimanda qui joue avec les leviers depuis sa pièce. Les héros de Korvosa se retrouvent maintenant seuls, coupés de tout adversaire. Heureusement, ils ont réussi à rester groupés. Un instant plus tard, la pièce où se cachait la sœur de Glorio apparaît à nouveau en face d’eux, mais elle est vide. Vimanda s’est-elle enfuie ? Non, elle s’est rendue invisible, comme le découvre Kylian qui s’est avancé vers les leviers. Enfin, le combat commence pour de bon ; leur adversaire à mis a profit le temps gagné hors de leur regard pour se préparer ; elle semble résister à toutes les attaques et à tous les sorts qui lui sont lancés. Heureusement, la sphinge n’est plus en vue, car ils vont avoir besoin de toutes leurs ressources pour venir à bout de leur adversaire.
Le sénéchal décoche flèche sur flèche avec l’arc qu’on lui a prêté, mais les projectiles ricochent sur la peau de Vimanda. Orgian chante, pour encourager ses compagnons. Kresh, tout en faisant de son mieux pour lutter contre son couteau, qui s’est transformé en serpent métallique et retourné contre lui, enchaîne les malédictions, espérant que l’une d’elle finira par passer. Brecht utilise ses pouvoirs psychiques les plus dévastateurs ; il ne sera peut être plus bon à rien après, mais le premier auquel elle ne résistera pas laissera des traces. Kylian déploie tout son talent, et ses prouesses martiales lui permettent de porter des coups formidables à son adversaire, qui semble toutefois à peine les ressentir, et riposte à chaque fois avec vigueur. Silas jongle entre leurres et bombes réelles, pour tenter de tromper la vigilance de Vimanda. Et Brynizril déchaine la colère de Desna comme jamais elle ne l’a fait pour mettre à mal son ennemie…
Toute l’énergie dépensée finit par payer. Vimanda, qui semblait jusque là se rire de toutes les attaques qu’elle subissait, s’écroule brusquement, changeant d’apparence une nouvelle fois. Vimanda n’était pas humaine, comme le démontrent ses paumes orientées vers l’extérieur et sa tête de renarde. Les Arkona sont des rakshasas…
La voix de Glorio résonne dans leurs têtes, les félicitant pour leur victoire. Il leur suggère de récupérer ce qu’ils sont venus chercher puis de quitter les lieux, sans parler de leur découverte à personne. Il leur reste cependant à retrouver Vencarlo… Peut-être en suivant la piste de la sphinge des ombres ?
En quelques coups de levier, ils parviennent à retrouver sa trace. Elle attendait que le passage s’ouvre, incapable d’agir sur le labyrinthe là où elle se trouvait, et bondit sur le groupe dès qu’elle en a l’occasion. Les sphinx des ombres sont des adversaires dangereux, mais moins toutefois qu’un rakshasa. Après une vaine tentative de déchiqueter Kresh, la sphinge se retrouve au milieu du groupe, et succombe rapidement à la pluie de coups qui s’abat sur elle.
C’est dans la salle gardée par la sphinge qu’ils retrouveront le maître d’arme, ligoté et bâillonné. Après l’avoir libéré et échangé les politesses d’usage, ils décident qu’il est temps de quitter les lieux, avant que Glorio ne change d’avis à leur sujet. Quelques coups de levier plus tard, ils atteignent l’entrée du labyrinthe…
Après quelques essais sur les différentes positions possibles, il faut se décider à commencer l’exploration, avec un souci en tête : veiller à ne pas être séparés par les rotations des pièces. Il ne semble pas y avoir grand monde à part eux dans les couloirs. A se demander si Vencarlo se trouve bien enfermé ici…
Personne n’a le temps de s’ennuyer, cependant : les différents couloirs et salles sont truffés de pièges, avec lesquels il faut composer. De nombreux symboles magiques, cachés au fur et à mesure de la progression du groupe par des capes et autres morceaux de tissu. Des coffres gravés de mystérieuses comptines, dont ils découvriront le mortel contenu sans s’y exposer grâce à un serviteur invisible convoqué par Kresh, secondé par le cristal psy de Brecht. Un couloir menant à un cul-de-sac, mais bordé de vierges de fer s’ouvrant à leur passage pour les perforer de lances acérées. Des volées de dards empoisonnés qui jaillissent des murs lorsqu’ils s’attardent trop dans une pièce.
Et des salles vides. Qui pivotent, parfois, pour leur permettre d’accéder à d’autres parties du labyrinthe, comme cette salle de méditation qu’ils ont longtemps regardée avec circonspection, pensant à un nouveau piège, jusqu’à ce que Silas n’ose y entrer et leur prouve que l’endroit était sûr.
Enfin, après presque une heure d’errances, ils se trouvent face à Vencarlo. Vêtu de haillons, un kukri à la main, il s’avance vers eux, l’air méfiant. Mais Brynizril l’arrête… Quelque chose cloche : ce n’est pas le maître d’arme qui se tient devant eux, mais une femme. Entourée d’une puissante illusion, certes, mais la naine à le regard perçant ! Découverte, Vimanda Arkona – car c’était elle – abandonne son déguisement.
Elle abaisse le levier à côté d’elle, pour faire pivoter les salles du donjon et essayer de séparer le groupe ; la nouvelle configuration leur permet de découvrir un autre adversaire : un sphinx femelle, armé de deux Kukris. Un sphinx des ombres, en fait, une variété extraplanaire et peu amicale, qui promet de compliquer sensiblement le combat.
Silas entame les hostilités, en lançant une bombe en direction de Vimanda, qui l’attrape au vol et la renvoie vers le groupe. Boum ! Elle enchaîne en faisant pivoter à nouveau les pièces, s’isolant ainsi du combat et disparaissant à la vue du groupe. De toute façon, la sphinge vient de lancer un sort de ténèbres…
Les rotations continuent. Sans doute Vimanda qui joue avec les leviers depuis sa pièce. Les héros de Korvosa se retrouvent maintenant seuls, coupés de tout adversaire. Heureusement, ils ont réussi à rester groupés. Un instant plus tard, la pièce où se cachait la sœur de Glorio apparaît à nouveau en face d’eux, mais elle est vide. Vimanda s’est-elle enfuie ? Non, elle s’est rendue invisible, comme le découvre Kylian qui s’est avancé vers les leviers. Enfin, le combat commence pour de bon ; leur adversaire à mis a profit le temps gagné hors de leur regard pour se préparer ; elle semble résister à toutes les attaques et à tous les sorts qui lui sont lancés. Heureusement, la sphinge n’est plus en vue, car ils vont avoir besoin de toutes leurs ressources pour venir à bout de leur adversaire.
Le sénéchal décoche flèche sur flèche avec l’arc qu’on lui a prêté, mais les projectiles ricochent sur la peau de Vimanda. Orgian chante, pour encourager ses compagnons. Kresh, tout en faisant de son mieux pour lutter contre son couteau, qui s’est transformé en serpent métallique et retourné contre lui, enchaîne les malédictions, espérant que l’une d’elle finira par passer. Brecht utilise ses pouvoirs psychiques les plus dévastateurs ; il ne sera peut être plus bon à rien après, mais le premier auquel elle ne résistera pas laissera des traces. Kylian déploie tout son talent, et ses prouesses martiales lui permettent de porter des coups formidables à son adversaire, qui semble toutefois à peine les ressentir, et riposte à chaque fois avec vigueur. Silas jongle entre leurres et bombes réelles, pour tenter de tromper la vigilance de Vimanda. Et Brynizril déchaine la colère de Desna comme jamais elle ne l’a fait pour mettre à mal son ennemie…
Toute l’énergie dépensée finit par payer. Vimanda, qui semblait jusque là se rire de toutes les attaques qu’elle subissait, s’écroule brusquement, changeant d’apparence une nouvelle fois. Vimanda n’était pas humaine, comme le démontrent ses paumes orientées vers l’extérieur et sa tête de renarde. Les Arkona sont des rakshasas…
La voix de Glorio résonne dans leurs têtes, les félicitant pour leur victoire. Il leur suggère de récupérer ce qu’ils sont venus chercher puis de quitter les lieux, sans parler de leur découverte à personne. Il leur reste cependant à retrouver Vencarlo… Peut-être en suivant la piste de la sphinge des ombres ?
En quelques coups de levier, ils parviennent à retrouver sa trace. Elle attendait que le passage s’ouvre, incapable d’agir sur le labyrinthe là où elle se trouvait, et bondit sur le groupe dès qu’elle en a l’occasion. Les sphinx des ombres sont des adversaires dangereux, mais moins toutefois qu’un rakshasa. Après une vaine tentative de déchiqueter Kresh, la sphinge se retrouve au milieu du groupe, et succombe rapidement à la pluie de coups qui s’abat sur elle.
C’est dans la salle gardée par la sphinge qu’ils retrouveront le maître d’arme, ligoté et bâillonné. Après l’avoir libéré et échangé les politesses d’usage, ils décident qu’il est temps de quitter les lieux, avant que Glorio ne change d’avis à leur sujet. Quelques coups de levier plus tard, ils atteignent l’entrée du labyrinthe…