Après avoir cherché un moment le moyen d’accéder à la tour de l’étoile, les aventuriers découvrent que l’unique entrée de cette dernière se trouve à son sommet. Elle est scellée par un glyphe magique que seule Laori sera capable d’activer. L’intérieur de la tour est austère. Des murs nus et un escalier descendant vers les étages inférieurs. Les pièces traversées évoquent des cellules monacales, et semblent abandonnée depuis longtemps. Enfin ils arrivent dans une pièce baignée d’une étrange lueur verte, qui émane d’un puits en son centre.
Alors que Kylian se penche pour tenter d’en voir le fond, une voix venue du plafond les fait sursauter… « Nul ne peut emprunter ce chemin dont je suis le gardien ». Le propriétaire de la voix est une immense ombre ailée, qui plane au dessus de leur tête d’un air menaçant. Une fois de plus, c’est Laori qui débloque la situation, expliquant au gardien que ses compagnons sont là pour récupérer l’épée selon la volonté de Zon-Kuthon lui-même. Le gardien accepte donc de les laisser passer, mais les met en garde de ne pas descendre plus bas que nécessaire. La tour de l’étoile s’enfonce profondément dans les entrailles de Golarion, et sert de prison à un être qu’il ne faut libérer sous aucun prétexte. Quant à Serithtial, sa présence n’est qu’anecdotique pour le gardien.
Laissant Laori avec son coreligionnaire, les aventuriers plongent dans le puits, et après une « chute » de quelques secondes, se retrouvent téléportés dans une pièce nue, d’un format semblable à celle qu’ils viennent de quitter. Le plafond est caché par une brume verte identique à celle du puits, et une unique porte mène vers un étroit chemin taillé dans les entrailles de la terre.
Après quelques détours dans les boyaux de granit, le groupe arrive sur une plage de sable gris, qui descend lentement vers une étendue d’eau calme et noire. Sur la plage reposent trois grandes huttes de torchis dont émane une odeur atroce. Une voute de pierre recouvre le tout aussi loin que porte la vision ; sur un îlot à une vingtaine de mètres de la côte brille un unique point lumineux. Serithtial ? Ils s’approchent prudemment, et sont à peine surpris quand un groupe de créatures géantes, à la gueule énorme, jaillit des huttes pour tenter de les massacrer. Des gugs.
Malheureusement, les monstres ont jailli au beau milieu du groupe, et les aventuriers sont dans un premier temps désorganisés. Orgian et Brynizril tentent de se mettre hors de portée des bras griffus et musclés qui lacèrent les alentours ; Silas, Kresh et Brecht essaient d’en faire autant tout en entravant au maximum la progression des gugs. Quant à Kylian, il essaie d’attirer leur attention, tout en demandant des soins pour tenir le coup.
La situation semble critique l’espace d’un instant, mais le pire est évité. Kresh endort un gug, Silas en immobilise un autre. Kylian s’occupe des adversaires les uns après les autres, aidé de la magie offensive de Brecht. Bientôt, les héros de Korvosa sont maîtres de la situation. Mais ils sont aussi sérieusement blessés… Qu’importe, Brynizril à de quoi remettre tout le monde sur pied !
Il n’y a plus rien entre eux et l’épée qu’ils sont venus chercher… Kresh s’envole, chargeant Kylian sur son dos, tandis que les autres restent sur la rive. Mais à peine ont-ils parcouru quelques mètres au dessus de l’eau noire que les flots s’agitent… Une créature répugnante fait surface : mi‑humanoïde, mi‑ver, elle mesure plus de vingt mètres de long et sa chair pâle est constellée de pustules et de moisissures. Elle possède des douzaines de pattes frêles qui s’agitent de chaque côté de son corps mais a gardé un torse vaguement humain bien que boursouflé et blafard. Et surtout, elle se jette sur Kresh et Kylian, qui font demi tour vers la plage pour pouvoir la combattre sur la terre ferme. Le monstre les y suit, s’échouant à moitié sur le sable ; il souffle un nuage de sang corrosif et poisseux sur les aventuriers…
Passé l’inévitable instant de surprise, les héros de Korvosa se ressaisissent. Ils sont bien décidés à renvoyer ce monstre hideux aux profondeurs qu’il n’aurait jamais du quitter ou, plus prosaïquement, à lui « mettre se race ». Les coups qu’il portent sont particulièrement douloureux, obligeant les aventuriers à puiser dans leurs ressources pour ne pas s’effondrer en pleurant ; lui-même ne semble pas ressentir la douleur, et frappe tout ce qui arrive à sa portée avec une régularité effrayante. Malgré cela, le groupe tient bon. Chacun donne tout ce qu’il a, sachant que le but de leur voyage est à portée de main. Et soudain, sans aucun signe avant-coureur, le monstre s’affaisse de tout son poids sur les huttes de torchis, vaincu.
Après avoir repris leur souffle, Kresh et Kylian repartent en vol vers l’îlot où est plantée l’épée. Cette fois, c’est la bonne : Serithtial est à eux !
Il ne leur reste qu’à remonter vers Balafre, pour faire leurs adieux à Laori… L’elfe préfère en effet ne pas voyage en compagnie d’une épée voué à détruire les serviteurs de son culte. Pour les héros de Korvosa, c’est l’heure de rentrer à la maison, après un petit crochet pour récupérer Leurs amis laissés à Janderhoff.
Alors que Kylian se penche pour tenter d’en voir le fond, une voix venue du plafond les fait sursauter… « Nul ne peut emprunter ce chemin dont je suis le gardien ». Le propriétaire de la voix est une immense ombre ailée, qui plane au dessus de leur tête d’un air menaçant. Une fois de plus, c’est Laori qui débloque la situation, expliquant au gardien que ses compagnons sont là pour récupérer l’épée selon la volonté de Zon-Kuthon lui-même. Le gardien accepte donc de les laisser passer, mais les met en garde de ne pas descendre plus bas que nécessaire. La tour de l’étoile s’enfonce profondément dans les entrailles de Golarion, et sert de prison à un être qu’il ne faut libérer sous aucun prétexte. Quant à Serithtial, sa présence n’est qu’anecdotique pour le gardien.
Laissant Laori avec son coreligionnaire, les aventuriers plongent dans le puits, et après une « chute » de quelques secondes, se retrouvent téléportés dans une pièce nue, d’un format semblable à celle qu’ils viennent de quitter. Le plafond est caché par une brume verte identique à celle du puits, et une unique porte mène vers un étroit chemin taillé dans les entrailles de la terre.
Après quelques détours dans les boyaux de granit, le groupe arrive sur une plage de sable gris, qui descend lentement vers une étendue d’eau calme et noire. Sur la plage reposent trois grandes huttes de torchis dont émane une odeur atroce. Une voute de pierre recouvre le tout aussi loin que porte la vision ; sur un îlot à une vingtaine de mètres de la côte brille un unique point lumineux. Serithtial ? Ils s’approchent prudemment, et sont à peine surpris quand un groupe de créatures géantes, à la gueule énorme, jaillit des huttes pour tenter de les massacrer. Des gugs.
Malheureusement, les monstres ont jailli au beau milieu du groupe, et les aventuriers sont dans un premier temps désorganisés. Orgian et Brynizril tentent de se mettre hors de portée des bras griffus et musclés qui lacèrent les alentours ; Silas, Kresh et Brecht essaient d’en faire autant tout en entravant au maximum la progression des gugs. Quant à Kylian, il essaie d’attirer leur attention, tout en demandant des soins pour tenir le coup.
La situation semble critique l’espace d’un instant, mais le pire est évité. Kresh endort un gug, Silas en immobilise un autre. Kylian s’occupe des adversaires les uns après les autres, aidé de la magie offensive de Brecht. Bientôt, les héros de Korvosa sont maîtres de la situation. Mais ils sont aussi sérieusement blessés… Qu’importe, Brynizril à de quoi remettre tout le monde sur pied !
Il n’y a plus rien entre eux et l’épée qu’ils sont venus chercher… Kresh s’envole, chargeant Kylian sur son dos, tandis que les autres restent sur la rive. Mais à peine ont-ils parcouru quelques mètres au dessus de l’eau noire que les flots s’agitent… Une créature répugnante fait surface : mi‑humanoïde, mi‑ver, elle mesure plus de vingt mètres de long et sa chair pâle est constellée de pustules et de moisissures. Elle possède des douzaines de pattes frêles qui s’agitent de chaque côté de son corps mais a gardé un torse vaguement humain bien que boursouflé et blafard. Et surtout, elle se jette sur Kresh et Kylian, qui font demi tour vers la plage pour pouvoir la combattre sur la terre ferme. Le monstre les y suit, s’échouant à moitié sur le sable ; il souffle un nuage de sang corrosif et poisseux sur les aventuriers…
Passé l’inévitable instant de surprise, les héros de Korvosa se ressaisissent. Ils sont bien décidés à renvoyer ce monstre hideux aux profondeurs qu’il n’aurait jamais du quitter ou, plus prosaïquement, à lui « mettre se race ». Les coups qu’il portent sont particulièrement douloureux, obligeant les aventuriers à puiser dans leurs ressources pour ne pas s’effondrer en pleurant ; lui-même ne semble pas ressentir la douleur, et frappe tout ce qui arrive à sa portée avec une régularité effrayante. Malgré cela, le groupe tient bon. Chacun donne tout ce qu’il a, sachant que le but de leur voyage est à portée de main. Et soudain, sans aucun signe avant-coureur, le monstre s’affaisse de tout son poids sur les huttes de torchis, vaincu.
Après avoir repris leur souffle, Kresh et Kylian repartent en vol vers l’îlot où est plantée l’épée. Cette fois, c’est la bonne : Serithtial est à eux !
Il ne leur reste qu’à remonter vers Balafre, pour faire leurs adieux à Laori… L’elfe préfère en effet ne pas voyage en compagnie d’une épée voué à détruire les serviteurs de son culte. Pour les héros de Korvosa, c’est l’heure de rentrer à la maison, après un petit crochet pour récupérer Leurs amis laissés à Janderhoff.
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