Après quelques heures de repos dans le grenier, le groupe décide de poursuivre l’exploration de Balafre par l’ancienne tour Seigneuriale, qui leur fait face. Ils passent par les balcons, au dessus des toits du château, et affrontent un petit groupe de gargouilles féroces au passage. Kylian est sérieusement blessé durant le combat (il faut dire qu’il est le seul à faire face, ses compagnons restant en retrait), mais Brynizril le soigne aussitôt le combat terminé.
Les voilà devant l’entrée de la tour ; dans la salle de garde à l’entrée de celle-ci, ils sont attendus par quelques diables à chaînes. Laori se lance à l’attaque, pour avoir la mauvaise surprise de voir ses propres armes se retourner contre elle et tenter de la frapper. Heureusement, Kylian prend la situation en main et massacre les diables en quelques attaques, laissant à peine à ses compagnons le temps de lancer un sort… La tour s’offre à eux !
Une tour aussi silencieuse que menaçante. Loin au‑dessus, à son sommet, une ouverture laisser entrer un peu de lumière, de la même manière que les meurtrières disposées dans les murs. Les pluies ont formé une mare d’eau stagnante sur le sol nu, au centre, et la pièce est pratiquement vide de meubles. Un lit fatigué est appuyé contre le mur opposé, couvert de draps décomposés. Il pend à quelques dizaines de centimètres du sol, accroché par les coins à des chaînes tendues à des supports en fer fichés dans les poutres de soutien. A côté, un large trône doré repose sur une estrade, devant une série de menottes fixées au sol. Non loin, des fers et autres outils de torture reposent encore sur une grille à feu, refroidie depuis longtemps. Une série d’alcôves décrivent une spirale le long du mur de la tour, suivant les escaliers qui montent, et dans chacune se trouve une statuette, une œuvre d’art ou un crâne poli. Mais surtout trois diables osseux et un diable à chaînes se tiennent au milieu de la pièce, prêts au combat.
Le combat s’engage ; Kylian et Laori se jettent à l’assaut, tandis que leurs compagnons restent dans le couloir, en retrait, pour éviter d’avoir à faire face aux dangereux diables osseux et à leurs dards empoisonnés. Il devient rapidement évident qu’en plus des ennemis visibles, il y a un lanceur de sorts dissimulé dans la pièce. Il vient d’enchainer un sort de blasphème, qui a permis à ses sbires de se positionner idéalement pour le combat tandis que les aventuriers tentaient de s’en remettre. Ce sort a été suivi d’une flétrissure et d’un éclair multiple, qui ont fait des ravages, et obligent les soigneurs à utiliser leur magie pour remettre sur pieds leurs compagnons. Au terme de cette démonstration magique, c’est Silas qui est le plus en forme. Il a en effet pris la fuite en hurlant dès le premier sort…
Malgré toutes ces difficultés, Les diables ne sont pas en pleine forme. Le mage ne les a pas épargnés en lançant ses sorts de zones, et Kylian et Laori ont rendu coup pour coup… En fait, l’elfe avait, dès les premières secondes du combat, lancé une barrière de lames pour se défendre des attaques de ses adversaires ; le sort a blessé à peu près tout le monde dans la pièce, avant que ses alliés n’ait le temps de s’écarter, mais maintenant qu’elle parade au milieu des diables, il devient très « rentable ».
Après avoir paré au plus pressé, Brynizril peut lancer un sort de vision véritable sur Kylian, qui voit enfin son adversaire… Et n’est pas déçu. En fait du magicien fluet qu’il s’attendait à trouver face à lui, se dresse un diable ashmede, à la silhouette fine, trois fois plus grand que lui, avec un corps de chair et de métal et deux grandes ailes de chauve souris. Et surtout une immense faux à la place de la main droite. En clair, l’affronter au corps à corps ne sera pas plus plaisant que de subir ses sorts.
Mais Kylian ne faiblit pas. Les autres diables sont tombés, et tout le groupe fait face au dernier adversaire qui les menace. En suivant les indications du maître d’armes, ils concentrent leurs attaques sur l’ashmede, qui est vaincu au prix de nombreuses blessures. Lorsqu’il tombe, l’aura maléfique de Balafre semble une fois de plus baisser d’intensité durant un instant, tandis qu’une décharge d’énergie parcours la pièce. La deuxième ancre est vaincue.
Après avoir fouillé la pièce, récupéré les objets de valeurs (dont les crânes parlants qui ornent les alcôves) qui s’y trouvaient et repoussé les avances de Laori, ils décident de retourner panser leurs plaies dans le grenier où ils ont dormi peu de temps auparavant…
Les voilà devant l’entrée de la tour ; dans la salle de garde à l’entrée de celle-ci, ils sont attendus par quelques diables à chaînes. Laori se lance à l’attaque, pour avoir la mauvaise surprise de voir ses propres armes se retourner contre elle et tenter de la frapper. Heureusement, Kylian prend la situation en main et massacre les diables en quelques attaques, laissant à peine à ses compagnons le temps de lancer un sort… La tour s’offre à eux !
Une tour aussi silencieuse que menaçante. Loin au‑dessus, à son sommet, une ouverture laisser entrer un peu de lumière, de la même manière que les meurtrières disposées dans les murs. Les pluies ont formé une mare d’eau stagnante sur le sol nu, au centre, et la pièce est pratiquement vide de meubles. Un lit fatigué est appuyé contre le mur opposé, couvert de draps décomposés. Il pend à quelques dizaines de centimètres du sol, accroché par les coins à des chaînes tendues à des supports en fer fichés dans les poutres de soutien. A côté, un large trône doré repose sur une estrade, devant une série de menottes fixées au sol. Non loin, des fers et autres outils de torture reposent encore sur une grille à feu, refroidie depuis longtemps. Une série d’alcôves décrivent une spirale le long du mur de la tour, suivant les escaliers qui montent, et dans chacune se trouve une statuette, une œuvre d’art ou un crâne poli. Mais surtout trois diables osseux et un diable à chaînes se tiennent au milieu de la pièce, prêts au combat.
Le combat s’engage ; Kylian et Laori se jettent à l’assaut, tandis que leurs compagnons restent dans le couloir, en retrait, pour éviter d’avoir à faire face aux dangereux diables osseux et à leurs dards empoisonnés. Il devient rapidement évident qu’en plus des ennemis visibles, il y a un lanceur de sorts dissimulé dans la pièce. Il vient d’enchainer un sort de blasphème, qui a permis à ses sbires de se positionner idéalement pour le combat tandis que les aventuriers tentaient de s’en remettre. Ce sort a été suivi d’une flétrissure et d’un éclair multiple, qui ont fait des ravages, et obligent les soigneurs à utiliser leur magie pour remettre sur pieds leurs compagnons. Au terme de cette démonstration magique, c’est Silas qui est le plus en forme. Il a en effet pris la fuite en hurlant dès le premier sort…
Malgré toutes ces difficultés, Les diables ne sont pas en pleine forme. Le mage ne les a pas épargnés en lançant ses sorts de zones, et Kylian et Laori ont rendu coup pour coup… En fait, l’elfe avait, dès les premières secondes du combat, lancé une barrière de lames pour se défendre des attaques de ses adversaires ; le sort a blessé à peu près tout le monde dans la pièce, avant que ses alliés n’ait le temps de s’écarter, mais maintenant qu’elle parade au milieu des diables, il devient très « rentable ».
Après avoir paré au plus pressé, Brynizril peut lancer un sort de vision véritable sur Kylian, qui voit enfin son adversaire… Et n’est pas déçu. En fait du magicien fluet qu’il s’attendait à trouver face à lui, se dresse un diable ashmede, à la silhouette fine, trois fois plus grand que lui, avec un corps de chair et de métal et deux grandes ailes de chauve souris. Et surtout une immense faux à la place de la main droite. En clair, l’affronter au corps à corps ne sera pas plus plaisant que de subir ses sorts.
Mais Kylian ne faiblit pas. Les autres diables sont tombés, et tout le groupe fait face au dernier adversaire qui les menace. En suivant les indications du maître d’armes, ils concentrent leurs attaques sur l’ashmede, qui est vaincu au prix de nombreuses blessures. Lorsqu’il tombe, l’aura maléfique de Balafre semble une fois de plus baisser d’intensité durant un instant, tandis qu’une décharge d’énergie parcours la pièce. La deuxième ancre est vaincue.
Après avoir fouillé la pièce, récupéré les objets de valeurs (dont les crânes parlants qui ornent les alcôves) qui s’y trouvaient et repoussé les avances de Laori, ils décident de retourner panser leurs plaies dans le grenier où ils ont dormi peu de temps auparavant…
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