Maintenant embauchés par Saul Vancaskerskin, il reste aux nouveaux employés du Gobelin Doré à trouver une manière de se rendre utiles. Cruaver propose de mettre à profit ses sens aiguisés pour surveiller les joueurs depuis le faux plafond, à travers les voiles de soie tendus. Le demi-elfe se fait fort de coincer les aspirants tricheurs avant qu’ils ne causent de dégâts.
Erelden, Harold et Milo, lorsqu’ils n’aident pas leur camarade magicien, font de la réclame pour la maison de jeu, allant de taverne en taverne en début de soirée et offrant à boire aux clients pour mieux les aiguiller vers le “bon” endroit où finir la soirée.
De son côté, Norja s’est mise en tête de bricoler la roulette et les autres tables de jeu pour forcer la chance. Elle a bien sûr pris soin de faire tout cela à l’insu de Quintus, de toute façon bien occupé à recruter du personnel pour faire tourner la boite et assurer la cohésion de cette nouvelle équipe…
Ainsi, le Gobelin est prêt à remonter la pente, chacun œuvrant à le rendre plus rentable. Mais bien sûr cela ne signifie pas que tout se passe sans incidents. Ainsi, le premier soir suivant la réouverture, tandis que chacun vaque à ses occupations, la soirée bat son plein. Il y a des joueurs à la plupart des tables, et le bar tourne gentiment. Cruaver a tout de même repéré un groupe de joueurs, sans doute des marins – une engeance courante à Port-Enigme – un brin éméchés et susceptibles de déraper.
Son intuition se révèle fondée. Les marins, après s’être échauffé rapidement, s’en prennent au croupier de leur table, qui jette des coups d’œil désespérés à Quintus. Le jeune prêtre essaie de calmer les esprits, en vain. Un des marins, sans doute le plus ivre, tire sa lame du fourreau, rapidement imité par ses comparses. Le silence se fait un instant dans la salle de jeu, les autres clients se repliant prudemment. Milo, Norja et Erelden n’étaient pas loin, et viennent prêter main forte à Quintus… Les fauteurs de troubles ayant sorti les armes, il n’est plus temps de faire dans la finesse.
Le combat ne durera pas longtemps ; Harold aura tout juste le temps de quitter la chambre qu’il testait avec deux jeunes serveuses fraichement engagées, pour faire irruption dans la salle, vêtu seulement de son épée et de sa fierté, et prendre part au combat avant que ce dernier ne se solde par une victoire sans appel du staff du Gobelin Doré. Après une brève conversation sur la suite à donner à cet événement, le groupe décide de faire se déshabiller les marins fauteurs de troubles et de leur peindre sur le dos, avec du goudron, l’inscription suivante : « J’ai essayé de foutre la merde au gobelin doré. Je regrette ». Une fois ceci fait, les marins sont relâchés, nus, en ville.
Larur, le comptable de Saul, conclut la soirée en annonçant que les premiers chiffres sont très bons, et qu’à se rythme, le Gobelin Doré deviendra rapidement un établissement parmi les plus rentables de la ville.
Le lendemain matin, les employés de Saul décident tout de même d’aller faire un tour à bord du Vésicant, le navire d’où provenaient les marins de la veille, afin de toucher un mot au capitaine du comportement de ses subordonnés, et de s’assurer que cette petite incartade était bien fortuite. Alors qu’ils arpentent le port à la recherche du bateau, un tremblement de terre agite la zone pendant une dizaine de secondes. Passé un moment de stupeur et malgré quelques cris de panique provenant de divers coins de la ville, les dégâts semblent superficiels. Plusieurs riverains, toutefois, montrent du doigt la « tache » au zénith de la ville, qui semble plus épaisse que jamais.
La rencontre avec le capitaine du Vésicant n’apportera pas grand chose. Le capitaine jure n’être pour rien dans le comportement belliqueux de ses hommes, et promet de leur faire une remontrance. Harold et Milo ont toutefois repéré un des marins de la veille, qui a quitté discrètement le navire à leur arrivée. Plutôt que d’assister à l’entrevue avec le capitaine, ils ont décidé de le suivre… Et ‘homme les a emmené dans une auberge non loin du port, où il a demandé une chambre et un bain très chaud. Sans doute pour enlever le goudron de la veille. Sentant le bon coup à jouer, les deux compères se glissent à l’étage, attendant que l’homme soit dans son bain, pour surgir dans la salle d’eau et lui subtiliser ses vêtements, avant de dévaler les escaliers et de quitter l’établissement en trombe, sous le regard ahuri des quelques clients présents.
Dans l’après-midi, tandis que la plupart de ses nouveaux compagnons se reposent au Gobelin Doré, Cruaver décide d’aller faire un petit tour à la loge des mages de glyphes, pour y tâter un peu le terrain. En effet, il espère rejoindre l’organisation, mais avec l’apparition de la tache dans le ciel de la ville, de nombreux jeunes mages en quête de gloire ou de fortune on rejoint Port-Enigme dans l’espoir de rejoindre l’ordre. Et comme les places d’apprenti sont limitées, beaucoup sont contraints de trouver un moyen de survivre en attendant de trouver un moyen d’attirer l’attention de l’ordre. C’est le cas par exemple de Samaritha. La jeune fille, mage et demi-elfe comme Cruaver, aborde ce dernier au sein de la loge, lui suggérant de lui offrir un verre. Quelques heures plus tard, Cruaver présente Samaritha au Gobelin Doré, où Quintus, après avoir jaugé la jeune magicienne, lui propose de l’engager comme barmaid pour épauler Régis – actuel tenant du poste – dans cette tâche. La soirée va bientôt commencer, déjà les premiers clients poussent la porte de l’établissement…
Erelden, Harold et Milo, lorsqu’ils n’aident pas leur camarade magicien, font de la réclame pour la maison de jeu, allant de taverne en taverne en début de soirée et offrant à boire aux clients pour mieux les aiguiller vers le “bon” endroit où finir la soirée.
De son côté, Norja s’est mise en tête de bricoler la roulette et les autres tables de jeu pour forcer la chance. Elle a bien sûr pris soin de faire tout cela à l’insu de Quintus, de toute façon bien occupé à recruter du personnel pour faire tourner la boite et assurer la cohésion de cette nouvelle équipe…
Ainsi, le Gobelin est prêt à remonter la pente, chacun œuvrant à le rendre plus rentable. Mais bien sûr cela ne signifie pas que tout se passe sans incidents. Ainsi, le premier soir suivant la réouverture, tandis que chacun vaque à ses occupations, la soirée bat son plein. Il y a des joueurs à la plupart des tables, et le bar tourne gentiment. Cruaver a tout de même repéré un groupe de joueurs, sans doute des marins – une engeance courante à Port-Enigme – un brin éméchés et susceptibles de déraper.
Son intuition se révèle fondée. Les marins, après s’être échauffé rapidement, s’en prennent au croupier de leur table, qui jette des coups d’œil désespérés à Quintus. Le jeune prêtre essaie de calmer les esprits, en vain. Un des marins, sans doute le plus ivre, tire sa lame du fourreau, rapidement imité par ses comparses. Le silence se fait un instant dans la salle de jeu, les autres clients se repliant prudemment. Milo, Norja et Erelden n’étaient pas loin, et viennent prêter main forte à Quintus… Les fauteurs de troubles ayant sorti les armes, il n’est plus temps de faire dans la finesse.
Le combat ne durera pas longtemps ; Harold aura tout juste le temps de quitter la chambre qu’il testait avec deux jeunes serveuses fraichement engagées, pour faire irruption dans la salle, vêtu seulement de son épée et de sa fierté, et prendre part au combat avant que ce dernier ne se solde par une victoire sans appel du staff du Gobelin Doré. Après une brève conversation sur la suite à donner à cet événement, le groupe décide de faire se déshabiller les marins fauteurs de troubles et de leur peindre sur le dos, avec du goudron, l’inscription suivante : « J’ai essayé de foutre la merde au gobelin doré. Je regrette ». Une fois ceci fait, les marins sont relâchés, nus, en ville.
Larur, le comptable de Saul, conclut la soirée en annonçant que les premiers chiffres sont très bons, et qu’à se rythme, le Gobelin Doré deviendra rapidement un établissement parmi les plus rentables de la ville.
Le lendemain matin, les employés de Saul décident tout de même d’aller faire un tour à bord du Vésicant, le navire d’où provenaient les marins de la veille, afin de toucher un mot au capitaine du comportement de ses subordonnés, et de s’assurer que cette petite incartade était bien fortuite. Alors qu’ils arpentent le port à la recherche du bateau, un tremblement de terre agite la zone pendant une dizaine de secondes. Passé un moment de stupeur et malgré quelques cris de panique provenant de divers coins de la ville, les dégâts semblent superficiels. Plusieurs riverains, toutefois, montrent du doigt la « tache » au zénith de la ville, qui semble plus épaisse que jamais.
La rencontre avec le capitaine du Vésicant n’apportera pas grand chose. Le capitaine jure n’être pour rien dans le comportement belliqueux de ses hommes, et promet de leur faire une remontrance. Harold et Milo ont toutefois repéré un des marins de la veille, qui a quitté discrètement le navire à leur arrivée. Plutôt que d’assister à l’entrevue avec le capitaine, ils ont décidé de le suivre… Et ‘homme les a emmené dans une auberge non loin du port, où il a demandé une chambre et un bain très chaud. Sans doute pour enlever le goudron de la veille. Sentant le bon coup à jouer, les deux compères se glissent à l’étage, attendant que l’homme soit dans son bain, pour surgir dans la salle d’eau et lui subtiliser ses vêtements, avant de dévaler les escaliers et de quitter l’établissement en trombe, sous le regard ahuri des quelques clients présents.
Dans l’après-midi, tandis que la plupart de ses nouveaux compagnons se reposent au Gobelin Doré, Cruaver décide d’aller faire un petit tour à la loge des mages de glyphes, pour y tâter un peu le terrain. En effet, il espère rejoindre l’organisation, mais avec l’apparition de la tache dans le ciel de la ville, de nombreux jeunes mages en quête de gloire ou de fortune on rejoint Port-Enigme dans l’espoir de rejoindre l’ordre. Et comme les places d’apprenti sont limitées, beaucoup sont contraints de trouver un moyen de survivre en attendant de trouver un moyen d’attirer l’attention de l’ordre. C’est le cas par exemple de Samaritha. La jeune fille, mage et demi-elfe comme Cruaver, aborde ce dernier au sein de la loge, lui suggérant de lui offrir un verre. Quelques heures plus tard, Cruaver présente Samaritha au Gobelin Doré, où Quintus, après avoir jaugé la jeune magicienne, lui propose de l’engager comme barmaid pour épauler Régis – actuel tenant du poste – dans cette tâche. La soirée va bientôt commencer, déjà les premiers clients poussent la porte de l’établissement…
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