Après une nuit de repos, nous sommes revenus à la porte. Les cadavres du troll et des chiens avaient disparu ; la porte était entrouverte. Précautionneusement, Enya risqua un œil à l’intérieur… La pièce qu’il nous décrivit était sans doute un corps de garde, avec des escaliers menant à l’étage, où était installé un poste de guet. Dans la pièce, deux trolls et une poignée de gobelins, occupés à dépiauter les cadavres que nous avions laisser la veille, sans doute pour les manger…
Le bruit de la cascade voisine couvrant facilement toute discussion, ma sœur et moi lançons quelques sorts pour préparer notre attaque, et, au signal, Enya ouvre la porte à la volée et toute la famille se lance à l’assaut. Un des deux trolls est taclé avant d’avoir pu réagir, l’autre est trop surpris pour penser à prendre ses armes, mais se jette sur Gregori et réussit presque à le démembrer à mains nues. Heureusement, Pharasma répond favorablement à mes prières et referme les blessures de mes compagnons. Un troisième troll, armé d’une gigantesque arbalète qu’il sera bien en mal d’utiliser vu l’étroitesse de la pièce, rejoint le combat. Il vient de l’étage supérieur et semble commander aux autres. Malgré son arrivée, nous prenons rapidement le dessus.
Une fouille rapide du corps de garde et du poste de guet à l’étage nous permet de mettre la main sur le butin de guerre des trolls. Peu de choses en vérité, mais Nicolaï a tout de même mis la main sur un bâton magique qui pourrait se révéler intéressant.
Nous ouvrons la porte au fond du corps de garde, qui donne sur un pont étroit et humide, balayé par les embruns de la cascade qui gronde à quelques mètres seulement. Un pauvre garde fou de quarante centimètres de chaque côté est tout ce qui empêche un maladroit de faire une chute d’une trentaine de mètres en direction des eaux glacées garnies de pitons rocheux, juste au pied de la chute…
A l’autre bout du pont, à une quinzaine de mètres devant nous, se dresse Castel Caromarc… Mais nous ne sommes pas les bienvenus ; un chien mécanique est sorti d’une trappe jouxtant la porte alors que nous nous engagions sur le pont. Tous nos appels au maître des lieux restent lettre morte ; le bruit de la cascade n’y est sans doute pas pour rien. Nous nous résolvons à affronter le gardien. Nous en viendrons à bout avec l’aide d’une flasque d’huile alchimique lancée sur son trajet par Enya. Déséquilibré, les quatre fers en l’air, le monstre sera facile à mettre hors d’état de nuire.
Bien sûr, la porte d’entrée du château est fermée à clef. Sacha vient à bout de la serrure à coup d’aspersions acides, mais lorsque nous poussons la porte, un élémentaire d’air tourbillonnant apparaît juste à côté de nous, énorme. Il projette en tous sens des masses d’air chargées d’eau qui viennent nous fouetter violemment ; nous nous précipitons à l’intérieur du manoir pour échapper à sa vindicte et refermons la porte derrière nous. Au bruit du vent qui fait trembler la porte, nous devinons qu’il est toujours là. La retraite est coupée. Après avoir fait, une fois de plus, appel à Pharasma pour panser nos blessures, nous jetons un œil à la pièce qui nous entoure. Nous sommes dans le hall d’entrée d’une demeure cossue. Devant la porte, un l’âtre crépite d’une chaleur bienfaisante, et nous nous réjouissons de pouvoir sécher nos vêtements gorgés d’eau. Sur le mur de gauche, un tableau d’un homme en pied, sans doute un ancien comte de Caromarc. A droite, une table basse aux formes bizarres attire notre attention : elle vient de se redresser de toute sa hauteur. Un instant plus tard, elle attaque. Bien qu’elle s’avère solide et difficile à briser, je pense que son créateur à omis de lui apprendre a se battre, car ses coups se perdent souvent dans le vide, ce qui nous permet de la débiter en morceaux de bois et de métal sans trop d’efforts. Néanmoins, si tout le mobilier se montre aussi agressif, la visite du manoir pourrait rapidement s’avérer laborieuse…
Le bruit de la cascade voisine couvrant facilement toute discussion, ma sœur et moi lançons quelques sorts pour préparer notre attaque, et, au signal, Enya ouvre la porte à la volée et toute la famille se lance à l’assaut. Un des deux trolls est taclé avant d’avoir pu réagir, l’autre est trop surpris pour penser à prendre ses armes, mais se jette sur Gregori et réussit presque à le démembrer à mains nues. Heureusement, Pharasma répond favorablement à mes prières et referme les blessures de mes compagnons. Un troisième troll, armé d’une gigantesque arbalète qu’il sera bien en mal d’utiliser vu l’étroitesse de la pièce, rejoint le combat. Il vient de l’étage supérieur et semble commander aux autres. Malgré son arrivée, nous prenons rapidement le dessus.
Une fouille rapide du corps de garde et du poste de guet à l’étage nous permet de mettre la main sur le butin de guerre des trolls. Peu de choses en vérité, mais Nicolaï a tout de même mis la main sur un bâton magique qui pourrait se révéler intéressant.
Nous ouvrons la porte au fond du corps de garde, qui donne sur un pont étroit et humide, balayé par les embruns de la cascade qui gronde à quelques mètres seulement. Un pauvre garde fou de quarante centimètres de chaque côté est tout ce qui empêche un maladroit de faire une chute d’une trentaine de mètres en direction des eaux glacées garnies de pitons rocheux, juste au pied de la chute…
A l’autre bout du pont, à une quinzaine de mètres devant nous, se dresse Castel Caromarc… Mais nous ne sommes pas les bienvenus ; un chien mécanique est sorti d’une trappe jouxtant la porte alors que nous nous engagions sur le pont. Tous nos appels au maître des lieux restent lettre morte ; le bruit de la cascade n’y est sans doute pas pour rien. Nous nous résolvons à affronter le gardien. Nous en viendrons à bout avec l’aide d’une flasque d’huile alchimique lancée sur son trajet par Enya. Déséquilibré, les quatre fers en l’air, le monstre sera facile à mettre hors d’état de nuire.
Bien sûr, la porte d’entrée du château est fermée à clef. Sacha vient à bout de la serrure à coup d’aspersions acides, mais lorsque nous poussons la porte, un élémentaire d’air tourbillonnant apparaît juste à côté de nous, énorme. Il projette en tous sens des masses d’air chargées d’eau qui viennent nous fouetter violemment ; nous nous précipitons à l’intérieur du manoir pour échapper à sa vindicte et refermons la porte derrière nous. Au bruit du vent qui fait trembler la porte, nous devinons qu’il est toujours là. La retraite est coupée. Après avoir fait, une fois de plus, appel à Pharasma pour panser nos blessures, nous jetons un œil à la pièce qui nous entoure. Nous sommes dans le hall d’entrée d’une demeure cossue. Devant la porte, un l’âtre crépite d’une chaleur bienfaisante, et nous nous réjouissons de pouvoir sécher nos vêtements gorgés d’eau. Sur le mur de gauche, un tableau d’un homme en pied, sans doute un ancien comte de Caromarc. A droite, une table basse aux formes bizarres attire notre attention : elle vient de se redresser de toute sa hauteur. Un instant plus tard, elle attaque. Bien qu’elle s’avère solide et difficile à briser, je pense que son créateur à omis de lui apprendre a se battre, car ses coups se perdent souvent dans le vide, ce qui nous permet de la débiter en morceaux de bois et de métal sans trop d’efforts. Néanmoins, si tout le mobilier se montre aussi agressif, la visite du manoir pourrait rapidement s’avérer laborieuse…
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