Après quelques jours de voyage, la Marquise et ses compagnons sont de retour à Chantilly. Dès les faubourgs, ils sont arrêtés par des fermiers, qui viennent se plaindre des attaques contre leurs troupeaux. Une douzaine de moutons sont morts ces derniers jours… Avant même de rentrer au château, ils se rendent donc à la ferme à Matthieu, lieu où le massacre a eu lieu deux jours plus tôt. Plusieurs indices leur font penser qu’il s’agit de l’œuvre d’un loup-garou, notamment des traces de bêtes qui disparaissent dans un bosquet et son remplacées par des empreintes de pas humains. Empreintes qui les mènent en ville, non loin du château.
Les gardes, interrogés, leur apprennent qu’il n’y a pas que des moutons qui ont été tués. Il y a aussi deux victimes humaines, une jeune serveuse la veille, et un berger, retrouvé ce matin même au milieu de ses moutons. Un des gardes admet avoir également vu un homme en guenilles renter en ville, la nuit du premier meurtre. Après avoir donné ordre de doubler les patrouilles, Tabea se rend à l’auberge où travaillait la serveuse, accompagnée de ses amis. Une petite discussion avec le patron leur apprend que l’homme en guenille est peut-être un certain Kundal, un Kellide arrivé en ville une semaine plus tôt. Sans doute un soldat ou un bucheron, vu l’énorme hache qu’il portait. Il a pris une chambre à l’auberge, mais y passe peu de temps : chaque jour depuis son arrivée, il rentre aux petites heures, mort saoul. Ensuite, il reste dans sa chambre jusqu’au milieu de l’après midi, et ne se réveille que pour sortir faire, à nouveau, la tournée des tavernes.
Dans la chambre de Kundal, Boris trouve un anneau d’argent, auquel est encore attaché un petit bout d’oreille. L’anneau et le bout d’oreille appartiennent bien à Saki, la serveuse décédée. Le signalement de Kundal est remis à tous les gardes, avec pour instructions de se méfier si ils le croisent…
Cette nuit, Tabea et ses compagnons patrouillent eux aussi. Ils tiennent à être prêt à réagir si le loup-garou frappe à nouveau. Parcourant les rues sombres de la capitale, ils finissent par apercevoir le monstre, qui se faufile le long des façades sombres, sans doute à la recherche d’une proie. Mais il les a également repéré… Il se précipite vers une ruelle voisine pour échapper à leur regard !
Boris avait anticipé la fuite de leur adversaire, et se hisse sur un toit, espérant ainsi couper court… Mais il tombe nez-à-truffe avec le loup garou, qui essayait sans doute de les attaquer par surprise ; il se laisse tomber dans la rue, au milieu de ses compagnons, suivi par le lycanthrope qui fait tourner sa lourde hache au dessus de sa tête.
Heureusement, les aventuriers sont cette fois parés pour affronter une créature de la nuit : armes en argent et sortilèges ad hoc leurs permettent de vaincre Kundal sans coup férir, et ce avant même que les gardes de la ville, alertés par les cris et les bruits de combat, n’arrivent à la rescousse.
Hors combat, Kundal est emmené en prison ; après interrogatoire, Tabea et ses compagnons sont convaincus que le pauvre homme a en fait été infecté il y a peu de temps… Il est convaincu de n’avoir fait au cours de ces dernières nuits que des cauchemars atroces, durant lesquels il massacrait des troupeaux de moutons. Plutôt que de l’exécuter, ils proposent d’essayer de lui trouver un remède, à condition qu’il accepte de travailler pour payer sa dette à ses victimes… C’est ainsi qu’ils passent la journée suivante chez l’herboriste et l’alchimiste, à préparer un remède à base de belladone.
Les jours suivants sont mis à profit pour administrer le comté. On décide de la construction d’une décharge à Chantilly et d’un cimetière à Lèveton. On vote quelques lois, concernant les droits des fééries et ceux de la Marquise à épouser qui elle veut au même titre que n’importe qui sur ses terres. Boris accepte d’apporter à Stas, un bucheron du coin, une preuve de l’existence du Hodag qu’il prétend avoir rencontré en forêt ; Tabea jure de faire tout ce qui est en son pouvoir pour ramener l’aventureux Tigs Tonnersen, qui a encore une fois disparu, à ses parents inquiets ; Yann et Agna conviennent avec Arven le pêcheur que s’ils le débarrassent du vieux Claque-Bec, une tortue géante trop agressive, ce dernier leur remettra l’anneau magique qu’il a trouvé en vidant une truite le mois passé. Bref, autant de promesse d’aventures qui poussent les aventuriers à préparer déjà leur prochain voyage…
Alors qu’ils s’apprêtent à reprendre la route, tout semble aller pour le mieux à Chantilly. Kundal supporte de mieux en mieux ses décoctions de belladone, même s’il a beaucoup maigri. Si il passe le cap de la prochaine pleine lune sans se transformer, il devrait rejoindre le prévôt Jubilost dans sa prochaine tournée…
Les gardes, interrogés, leur apprennent qu’il n’y a pas que des moutons qui ont été tués. Il y a aussi deux victimes humaines, une jeune serveuse la veille, et un berger, retrouvé ce matin même au milieu de ses moutons. Un des gardes admet avoir également vu un homme en guenilles renter en ville, la nuit du premier meurtre. Après avoir donné ordre de doubler les patrouilles, Tabea se rend à l’auberge où travaillait la serveuse, accompagnée de ses amis. Une petite discussion avec le patron leur apprend que l’homme en guenille est peut-être un certain Kundal, un Kellide arrivé en ville une semaine plus tôt. Sans doute un soldat ou un bucheron, vu l’énorme hache qu’il portait. Il a pris une chambre à l’auberge, mais y passe peu de temps : chaque jour depuis son arrivée, il rentre aux petites heures, mort saoul. Ensuite, il reste dans sa chambre jusqu’au milieu de l’après midi, et ne se réveille que pour sortir faire, à nouveau, la tournée des tavernes.
Dans la chambre de Kundal, Boris trouve un anneau d’argent, auquel est encore attaché un petit bout d’oreille. L’anneau et le bout d’oreille appartiennent bien à Saki, la serveuse décédée. Le signalement de Kundal est remis à tous les gardes, avec pour instructions de se méfier si ils le croisent…
Cette nuit, Tabea et ses compagnons patrouillent eux aussi. Ils tiennent à être prêt à réagir si le loup-garou frappe à nouveau. Parcourant les rues sombres de la capitale, ils finissent par apercevoir le monstre, qui se faufile le long des façades sombres, sans doute à la recherche d’une proie. Mais il les a également repéré… Il se précipite vers une ruelle voisine pour échapper à leur regard !
Boris avait anticipé la fuite de leur adversaire, et se hisse sur un toit, espérant ainsi couper court… Mais il tombe nez-à-truffe avec le loup garou, qui essayait sans doute de les attaquer par surprise ; il se laisse tomber dans la rue, au milieu de ses compagnons, suivi par le lycanthrope qui fait tourner sa lourde hache au dessus de sa tête.
Heureusement, les aventuriers sont cette fois parés pour affronter une créature de la nuit : armes en argent et sortilèges ad hoc leurs permettent de vaincre Kundal sans coup férir, et ce avant même que les gardes de la ville, alertés par les cris et les bruits de combat, n’arrivent à la rescousse.
Hors combat, Kundal est emmené en prison ; après interrogatoire, Tabea et ses compagnons sont convaincus que le pauvre homme a en fait été infecté il y a peu de temps… Il est convaincu de n’avoir fait au cours de ces dernières nuits que des cauchemars atroces, durant lesquels il massacrait des troupeaux de moutons. Plutôt que de l’exécuter, ils proposent d’essayer de lui trouver un remède, à condition qu’il accepte de travailler pour payer sa dette à ses victimes… C’est ainsi qu’ils passent la journée suivante chez l’herboriste et l’alchimiste, à préparer un remède à base de belladone.

Alors qu’ils s’apprêtent à reprendre la route, tout semble aller pour le mieux à Chantilly. Kundal supporte de mieux en mieux ses décoctions de belladone, même s’il a beaucoup maigri. Si il passe le cap de la prochaine pleine lune sans se transformer, il devrait rejoindre le prévôt Jubilost dans sa prochaine tournée…
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire